Brasses
Ruisseau un temps apprivoisé,
ouvre tes jambes et tes bras !
Mon corps menu est tout ému
à l’idée d’en toi
se remuer.
Ouvre plus grand, allez, étends :
délie tes nœuds, alcôve lourde,
lit gros de sac et de reflux,
et dans le vent où tu t’ébats,
trouve un couloir où me loger.